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A LA UNE
13 Mars 2019
Auteur La Cellule de communication de l’ANAM
Source https://senegalinfos.com/communique-de-presse-agence-nationale-des-affaires-maritimes/?fbclid=IwAR1JbRGQV7InddttaYmj-iRyw5mIuNdG221t33GsgEe6mh_yQSWCA5LZ6XQ
Pays enregistreur Senégal

COMMUNIQUE DE PRESSE: AGENCE NATIONALE DES AFFAIRES MARITIMES

Dans le cadre de son programme intégré de coopération technique, l’Organisation maritime internationale (OMI) organise à Dakar, du 11 au 15 mars 2019, un cours régional de formation sur le transport et la manutention des marchandises dangereuses (Codes IMDG et IMSBC).


Les travaux ont été ouverts par Monsieur Achille Guéye, Coordonnateur interne de l’ANAM, représentant Mme Ndéye Tické Ndiaye Diop, Directeur général de ladite Agence, en présence de Mme
Nafissatou Ba Niang , Secrétaire générale du Port autonome de Dakar et de Monsieur Honorat Attoumou Hoba, Coordonateur régional de l’OMI à Abidjan.

Ce cours, qui se tient au Port Autonome de Dakar, «carrefour des grandes routes maritimes, car recevant chaque année environ 2 500 navires, avec tout ce que cela emporte comme risques et menaces», vise à renforcer les capacités de tous les acteurs publics/privés et des opérateurs économiques intervenant dans les différentes étapes de la manipulation et du transport des marchandises dangereuses, à prévenir les pollutions du milieu marin et des installations portuaires, entre autres.

Il est destiné aux fonctionnaires des administrations maritimes en charge des questions relatives aux marchandises dangereuses, aux responsables des capitaineries des ports et aux personnels des entreprises maritimes impliquées dans le transport des marchandises dangereuses ; de même qu’aux personnels techniques et portuaires d’autres Etats de la sous-région notamment, le Bénin, le Congo, la République Démocratique du Congo et la Mauritanie.

La question du transport des marchandises dangereuses, eu égard aux risques pour les personnes à bord et pour la sécurité du navire, est au cœur de la réglementation maritime internationale, d’autant plus que depuis la Seconde Guerre mondiale, les marchandises dangereuses n’ont cessé de se diversifier et leur transport d’augmenter en volume.

Une menace supplémentaire apparaît, pour l’environnement marin, quand les marchandises dangereuses sont aussi des polluants marins.

De par sa position géographique, le Sénégal en tant qu’Etat maritime et fondamentalement attaché au développement de ce secteur hautement stratégique, a choisi de s’inscrire dans une dynamique sécuritaire en procédant à la ratification, dès les premières heures, des instruments pertinents pour la sécurité maritime et la protection de l’environnement marin.

Pour rappel, le code IMDG (International maritime dangerous goods), ou code maritime internationale des marchandises dangereuses est un guide international pour le transport des matières dangereuses en colis (y compris conteneurs et véhicules, à l’opposé du vrac directement placé en cale), destiné à tous ceux qui sont impliqués dans le transport maritime de ces marchandises. L’édition du code de 2002 est devenu obligatoire au 1er janvier 2004. Puis sa version amendée 35-10 est entrée en vigueur le 1er janvier 2011 sur une base volontaire et est devenue obligatoire pour tous les pays, un an plus tard, c’est-à-dire en 2012.

Quant au code IMSBC (International maritime solid bulk cargoes code) ou code maritime international des cargaisons solides en vrac, il est le principal texte législatif régissant le transport maritime de matières solides en vrac. Il est applicable à tous les navires transportant des marchandises en vrac, depuis le 1er janvier 2011 en accord avec la Convention SOLAS (sur la sauvegarde de la vie humaine en mer).

La Cellule de communication de l’ANAM

 
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