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14 Mai 2019
Auteur FAUSTIN EHOUMAN
Source https://www.fratmat.info/index.php/economie/securite-maritime-les-membres-de-la-chaine-penale-renforcent-leurs-capacites-2?fbclid=IwAR3nMp3wSKQX_tHiaHtvZ9aywY3hnGt95ttTO_QZLdN90mFWZmv9E6_3N68
Pays enregistreur Cote d'Ivoire

Sécurité maritime: Les membres de la chaîne pénale renforcent leurs capacités

Le secrétariat permanent du comité interministériel de l’Action de l’Etat en mer (Aem), en collaboration avec le bureau régional de l’Office des Nations unies contre la drogue et le crime (Onudc), à travers son programme de lutte contre la piraterie et la criminalité maritime, a organisé, du 6 au 8 mai, à l’hôtel Ibis à Abidjan-Plateau, un atelier de formation et de renforcement des capacités à l’intention des magistrats et experts du secteur maritime ivoirien.

Cette session de 72 heures a été ouverte par Abroulaye Fofana, le secrétaire permanent du comité interministériel de l’Aem, en présence des partenaires techniques et financiers de la Côte d’Ivoire dont l’Union européenne (Ue) et le Pnud. Elle avait pour objectif de permettre aux acteurs de la chaîne pénale de mieux connaître le contexte, les instruments légaux et les juridictions existant en matière de sécurité maritime et de lutte contre la criminalité maritime.

Elle a été animée par le formateur expert et maître, Ousmane Diouf. Pour Abroulaye Fofana, le présent atelier devrait permettre à la vingtaine de participants issus des différentes administrations constituées par le comité interministériel de renforcer la maîtrise de la chaîne pénale. « Nous n’avons pas encore une bonne maîtrise de la chaîne pénale, en ce qui concerne les crimes maritimes. C’est à cela que nous travaillons aujourd’hui.

Mais également à mettre en place une bonne stratégie de l’économie bleue et à assurer sa sécurité. Des officiers de police judiciaire existent, mais n’ont pas la formation suffisante pour bien exécuter leur tâche. Il faut donc les former et renforcer les capacités de tous les acteurs de l’action de l’Etat en mer », a-t-il expliqué. Précisant que l’architecture de l’Aem sera bientôt achevée avec la nomination annoncée des préfets maritimes. Les eaux du golfe de Guinée, a noté le représentant de l’Ue, Charles Girard, font l’objet d’insécurité. En ce qui concerne la Côte d’Ivoire, l’insécurité maritime se manifeste plus par la pêche illicite. L’Ue s’est engagée à apporter son soutien aux pays concernés, notamment à travers son projet Swaims (Appui à la stratégie maritime intégrée de l’Afrique de l’Ouest, Ndlr) dans le cadre duquel se tient le présent atelier et qui a été expliqué par Charles Girard.

D’un coût total d’environ 17 milliards de FCfa (29 millions d’euros), ce projet prend en compte notamment les volets formation et renforcement des capacités.

 
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